• Senlis et l' Abbaye Royale de Chaalis le 25 septembre 2018

    Senlis le 25 septembre 2018

    Une journée qui commence sous d'heureux auspices, le soleil brille.


    Nous avions rendez-vous avec notre guide Marie -Paule devant la cathédrale Notre Dame.
    Elle nous accompagnera tout au long de cette belle journée, et nous captivera en nous comptant l’histoire de

    Senlis ville de caractère troublante et secrète

     

    Au III siècle, pour se protéger des invasions alamanes et franques, les romains construisent une épaisse muraille longue de 800m  Construite selon la technique romaine l’alternance de pierres et de briques pour en assurer la solidité. La Muraille de Senlis est l’une des rares constructions de ce type, conservée dans sa quasi-intégralité en France
    Le 1er juillet 987, exaspérés par la faiblesse des derniers héritiers de Charlemagne, les principaux seigneurs de Francie occidentale (la France actuelle) offrent la couronne royale au meilleur d'entre eux, le comte de Paris Hugues Capet, Seigneur puissant et respecté, son surnom « Capet » provient du fait qu'il se vêtait d'une chape d'abbé, un manteau de cérémonie ecclésiastique. Il était en effet abbé laïque à Saint-Martin-de-Tours.

    Hugues Capet 


    En 987, Hugues Capet est élu roi de France dans l’enceinte du Château Royal : sa dynastie favorisera la vie religieuse et économique. Au XIIe siècle, la ville vit une de ses périodes les plus fastueuses sous le règne de Louis VI le Gros. La cathédrale Notre-Dame est construite, sur une période allant de 1153 à 1191. Le roi Louis VII accorde en 1173 une charte communale à la ville, donnant aux senlisiens leur liberté communale. Philippe Auguste dote la ville d’un rempart. Au XIIIe siècle, le chancelier Guérin, évêque de Senlis, remporte la victoire de Bouvines. Le roi Saint-Louis poursuit l’embellissement et l’agrandissement de l’enceinte du Château Royal, en y installant la communauté monastique de Saint-Maurice, des fortifications médiévales s’élèvent peu à peu.

    Sous nos pieds des pavés d’un autre temps

    . Senlis est composé de ruelles pavées à caniveau central, jalonnées de bornes « chasse-roues », caractéristiques de l’époque médiévale

     

     

     

    Chapelle Saint-Frambourg- Fondation Cziffra


    Pendant plusieurs siècles, huit paroisses, donc huit curés se sont partagés la ville de Senlis...la chapelle St Frambourg. On dit de Senlis qu’elle est une ville sonnante
    Une chapelle au destin mouvementé
    Carolingienne puis capétienne, elle a été réédifiée trois fois : temple, manège pour l'armée prussienne, magasin, entrepôt, garage... La chapelle a eu mille et une vie. Et c'est en 1973, sur les conseils de d’André Malraux, que Georges Cziffra, alors très célèbre, la rachète. Il y fonde la Fondation Cziffra un an plus tard et commence la restauration du monument.

    Vitraux de Miro
    https://www.youtube.com/

    Des mystères persistent
    Dans la crypte, parmi les vestiges, l'on peut également apercevoir l'une des 28 tours du mur d'enceinte gallo-romain qui protégeait la ville de Senlis au IVe siècle. On note également le tombeau de Saint Fraimbault, ainsi que les restes d'un autre corps qui pourrait être celui de la Reine Adelaïde ou d'une princesse. À la toute fin du IXe siècle, la chapelle se nomme en effet la Chapelle Adelaïde.

     

     


    Au XVIe siècle, la ville, sous le commandement de Montmorency-Thoré, repousse les Ligueurs et soutient la cause d’Henri IV, qu’elle accueille en ses murs : Henri IV accorda à la ville de Senlis des avantages fiscaux (Dix ans d’exonération d’impôt), en remerciement de sa fidélité et de sa loyauté. Une plaque fixée sur la façade de l'Hôtel de ville rappelle ses paroles "mon heur a prins son commencement en la ville de Senlis dont il s'est depuis semé et augmenté par tout notre royaume".
    Place Henri IV
    Anciennement place du change. L’ancien nom apposé sur les plaques atteste de l’importante activité commerçante de ce quartier au moyen âge
    Rue au fromage place aux veaux
    Marché aux lapins et aux balais

     

     

     

     

    Les ruelles médiévales et hôtels particuliers

     

     Hôtel de la Chancellerie

    Cette demeure est surnommée à tort l’Hôtel de la Chancellerie, car l’un de ses habitants, Henri de Marle, était chancelier de France au début du XVe siècle.
    Sa façade Renaissance, remaniée au XVIIIe siècle, se caractérise par un pilastre central intégrant des chapiteaux doriques au rez-de-chaussée, ioniques au premier étage et corinthiens au second. Deux tours d’angles encadrent cette façade, ouvertes au sommet par une fenêtre symétrique accentuant l’impression de hauteur.

     

     

     

     

      Rempart Gallo-Romain IIIe siècle



    De l’autre côté

     

     

     

    Descente de Gouttière

     

     

    Prieuré St Maurice

    Bâtiment des moines, façade sur l'impasse Baumé

    Le prieuré Saint-Maurice est une fondation de Saint-Louis de 1262 / 1264 environ et a été construit à proximité du château royal. En raison du nombre insuffisant de moines, il a été supprimé en 1768, et le cloître la chapelle ont été démolis après …
    En 1262, Saint Louis fonde le prieuré Saint-Maurice, dans le périmètre du château royal, pour accueillir les reliques de vingt-quatre martyrs de la Légion thébaine, compagnons de saint Maurice.
    De l’ensemble monastique subsiste l’aile orientale du prieuré Saint-Maurice, remanié jusqu’au XIXe siècle, dont le dortoir des moines, à l’étage, a été restauré.
    On voit ce bâtiment dans le parc du palais royal, entre l'office de tourisme et le musée de la Vénerie. Fondé par Saint-Louis entre 1262 et 1264 dans l'enceinte du Palais Royal, le prieuré Saint-Maurice était destiné à abriter les reliques de Saint-Maurice et de ses compagnons martyrs de la Légion thébaine. Une communauté, composée de douze chanoines et d'un prieur, servait ce lieu suivant la règle de saint Augustin. Le cloître et l'église seront rasés peu après 1789. De l'ensemble monastique subsiste l'aile orientale du prieuré Saint-Maurice, remanié jusqu'au XIXe siècle, dont le dortoir des moines, à l'étage, a été restauré avec une belle charpente en chêne. Sur la pelouse, à droite, il reste les vestiges des assises de la chapelle dont l'entrée se trouvait près du logis du prieur.

    Le château royal de Senlis est un site remarquable, non seulement de l'histoire de Senlis, mais aussi de l'Histoire de France. L'ensemble formé par le château, le rempart du IIIe siècle et l'hôtel de Vermandois constitue le premier palais des Capétiens. C'est également un ensemble architectural unique témoignant des structures du pouvoir de l'époque. Pour en prendre la mesure, remontez le temps avec nous pour un voyage de près de 2000 ans.

     

     

     

     

    Senlis et l'  Abbaye Royale de Chaalis le 25 septembre 2018

     

    Trois pots d'étain. La petite enseigne en pierre sculptée est toujours visible.

     

    Auberge de renom pendant les XVIe et XVIIe siècles, des hôtes illustres y descendaient, comme le duc de Sully lorsque Henri IV était à Senlis (plaque de commémoration).

     De 1688 à 1765, l'hôtel sert de relais de poste, et les maîtres de poste furent Augustin Houbigant (1693-1697), Robert Polehq (1706), Jean Barbier (1711-1742), Guillaume Godart (1751-1759) et Chenu (1768).

    - Au XVIe siècle, le bâtiment a été remanié, recevant une façade de briques, en ligne brisée avec des chaînes de pierre en bossage.

    Dans les caves sur deux niveaux, subsistent des chapiteaux sculptés des XIIIe et XIVe siècles.

    La grande porte-cochère est remarquable; elle mène vers la cour et le jardin de l'hôtel le long de l'impasse Beaumé (anciennement rue des Prisons). À côté, un autre grand portail constitue l'un des accès au parc de l'ancien château royal.

     


    Rue de la treille

    Maison en bois et briques rouges

      

     

    Cathédrale Notre Dame

     

    Arquée par quatre siècles de transformations, la cathédrale Notre-Dame de Senlis est un témoin majeur de l’évolution du style gothique.



    Plan de la cathédrale de Senlis, montrant les rajouts des différentes époques et les détails architecturaux disparus
    La construction débute vers 1153, sous le règne de Louis VII et l’épiscopat de Thibault, ami de Suger.

    La cathédrale est consacrée en 1191 (elle comporte alors un seul bas-côté).
    La façade ouest et le chevet présentent la sobriété du gothique primitif.

    Joyau de la sculpture du XIIe siècle, le portail ouest, dédiée à Marie représente pour la première fois le thème du Triomphe de la Vierge.
    Les nouvelles techniques du XXIe siècle ont permis la restitution des couleurs originelles des sculptures du portail.


    Le miracle de la dent


    Un tableau de 1645 peint par Frédeau, dans la cathédrale, illustre le « miracle de la dent » : on y voit Clovis venu à Senlis pour prier sur le tombeau de Rieul. L'évêque Liévain fait exhumer le corps du saint et Clovis en profite pour demander une relique. On lui donne une dent ! Et le miracle ? Il se fait lorsque du sang coule pendant qu'on enlève la sainte dent ! Clovis n’aurait pas pu la conserver et aurait été contraint de la remettre dans sa sépulture

     



    Au XIIIe siècle, elle est agrandie par la création d’un transept. La présence de la fortification gallo-romaine contraint les bâtisseurs à modifier la configuration de l’espace en décalant le transept et limitant l’extension du chevet vers l’est.
    La tour Sud est rehaussée d’une flèche de style gothique rayonnant de soixante-dix-huit mètres de hauteur.

    En 1504, après un incendie, les combles s’écroulent. Louis XII et François 1er contribuent et impliquent le royaume à la restauration de la cathédrale : la voûte est surélevée de six mètres, la façade sud est réalisée par les architectes Pierre et Martin CHAMBIGES dans le style de l’époque : le gothique flamboyant.

      

    Le clocher de la tour sud : dessins de Viollet-le-Duc.



    Au nord de la cathédrale, « assise » sur la base d’une tour gallo-romaine, se trouve la bibliothèque du Chapitre (1528). La salle capitulaire date de la fin du XVIe siècle.
    L’architecture intérieure offre une lecture claire des différentes étapes de la construction : les grandes arcades, les tribunes et les fenêtres hautes. Victime de la révolution, elle est démunie d’une grande partie de ses ornements. Au début du XIXe, le mobilier s’enrichit d’objets d’origines diverses.

    Nous ne pouvons pas quitter Senlis sans évoquer Séraphine 

    Séraphine de Senlis


    (1864-1942) : Née à Arsy dans l’Oise, bergère, puis femme de ménage chez les sœurs de St Joseph jusqu’en 1902.

    En 1906, elle s’installe dans sa maison rue du Puits-Tiphaine à Senlis. Vers 1908-1910, elle commence à peindre, à la gouache, puis au ripolin sur des objets et des meubles.

    En 1912, Wilhem Uhde découvre le talent de sa femme de ménage et l’encourage. Aidée financièrement, elle expose en 1927 trois toiles de grandes dimensions où elle rencontre un grand succès.

    Elle ne se consacre alors plus qu’à la peinture. A partir de 1930, elle multiplie dépenses et excentricités. En 1934, elle est internée à l’hôpital psychiatrique de Clermont (Oise) où elle meurt en 1942.

    Déjeuner au Gril des Barbares 

     

     

     

     

    Abbaye de Chaalis 

     

     

    Senlis et l'  Abbaye Royale de Chaalis le 25 septembre 2018


    Cette magnifique ruine et ce lieu nous invite à la découverte d’un lieu ou le sacré et le profane se côtoient avec le Musée Jacquemart-André


    L’abbaye royale de Chaalis est une ancienne abbaye cistercienne

    L'ordre cistercien est un ordre monastique de droit pontifical. C'est une branche réformée des bénédictins dont l'origine remonte à la fondation de l'abbaye de Cîteaux par Robert de Molesme en 1098.


    C’est en 1137 que le roi Louis VI le Gros fonde Chaalis, en l’honneur de son cousin Charles, mort au combat. Elle devient vite l’une des abbayes cisterciennes les plus importantes du royaume. Ses terres agricoles, qui s’étendent sur plus de 100 km sont fertiles


    L’activité intellectuel y est très importante. Guillaume de Digulleville écrira ici un Pèlerinage de Jésus. Le roi Saint-Louis, très pieux, est aussi un habitué des lieux.
    En 1541 Hyppolyte D’Este est appelé par François 1er. Il devient le premier abbé commendataire

     

    Dans le régime de la commende, un ecclésiastique ou un laïc tient une abbaye ou un prieuré in commendam, c'est-à-dire en percevant personnellement les revenus de celui-ci, et, s'il s'agit d'un ecclésiastique, en exerçant aussi une certaine juridiction sans toutefois la moindre autorité sur la discipline intérieure des moines.


    Portrait Hippolyte d’Este
    Hippolyte d'Este fait entrer l’Abbaye de Chaalis dans la modernité du XVI siècle.
    Par la suite, les moines souffrent de la commande qui ne leur laisse qu’une portion « congrue ». Cela n’empêche pas le comte de Clermont de se lancer dans des travaux fastueux qu’il ne peut mener à bien faute de moyens financiers suffisants.

     

    La chapelle Sainte-Marie


    http://www.chaalis.fr/fr/chapelle



    Datation : 1541-1549. Maître d’ouvrage : Hippolyte II d’Este. Le maître d’œuvre était Primatice, un Italien qui donna les dessins et fit exécuter les fresques.



    Contre façade du chœur

     

    La scène de l’Annonciation ou le message de l’archange Gabriel : Son nom signifie Homme à qui Dieu fait confiance. Il est envoyé pour annoncer à Marie qu’elle va donner le jour à Jésus. (Luc 1,26-38). Il intervient aussi dans l ’Annonce à Zacharie de la future naissance de Jean-Baptiste (Luc 1,11-20).

     



    La fresque sur le voûtain de la nef représente les Pères de l’Eglise, les Evangélistes et les Apôtres, identifiables grâce à leurs attributs.

     



    Les Gargouilles dessinées  par Paul Blaze

     


    Émaux sur lave peints et fabriqués en 1878 par Paul Balze


    http://www.chaalis.fr/fr/actualites/decouverte-de-nouveaux-emaux-de-paul-balze-pour-chaalis

    Au XVIIe siècle, l’abbaye décline et c’est paradoxalement la volonté de son neuvième abbé commendataire (Louis de Clermont, petit-fils du Grand Condé) de relever Chaalis de ses ruines qui va précipiter sa perte.
    Des plans grandioses sont établis par l’architecte Jean Aubert. Les travaux débutent en 1737, mais s’arrêtent très vite faute d’argent.
    En 1785, l’abbaye est ruinée, les religieux dispersés.
    En 1793, les bâtiments vendus comme biens nationaux servent de carrières de pierres.

     

     

     

     

     

     

    Chaalis le château

     

    Remerciements à Mrs Aymar de Virieu administrateur de Chaalis pour l’envoi de trois photographies de l’intérieur du Musée (Les photographies sont interdites dans le musée)

     



     Le magnifique château de l'abbaye royale de Chaalis est entouré d'un parc luxuriant. Cette ancienne abbaye fut transformée en château au XVIIIème siècle à la demande de son propriétaire, le très fortuné collectionneur d’art Nélie Jacquemart-André.

    Nélie Jacquemart, naquit à Paris en 1841.Protégée de Madame de Vatry, qui possède alors l’Abbaye de Chaalis.
    Nélie entre à l’école des Beaux-Arts, elle sera une des premières femmes acceptées dans cette prestigieuse écoles d’arts. Elle se spécialise dans l’art du portrait, elle peint le tout Paris. C’est dans ce contexte qu’elle rencontrera son mari Édouard André banquier richissime
    Ensemble, ils parcourent l’Europe, l’Italie ou Nélie peut acquérir des œuvres de primitifs Italiens. Edouard André décède en 1884. Nélie entreprend des voyages encore plus lointains. Turquie, Egypte, Inde Birmanie.
    Le 14 juin 1902 Nélie devenait propriétaire de Chaalis pour la somme de 1400000 francs. Elle en fera son musée personnel.

     


    Au rez-de-chaussée, la salle des moines est consacrée aux œuvres du Moyen Âge et à des primitifs italiens dont deux remarquables œuvres de Giotto


    Salle des Moines




    Galerie haute offre un ensemble remarquable d’œuvres d’arts et d’objets d’arts .

    Au centre des braseros et des tables des XVI et XVIIsiècle

     


    Tombeau de Nélie Chapelle St Marie


    Décédée en 1912, son corps est déposé, selon son souhait, dans la splendide chapelle St Marie   
    .


    La Roseraie


    La Roseraie existait déjà du temps de Mme de Vatry. En 1902 Nélie Jacquemart-André fit quelques aménagements.

     

     

     

     

    Sources :
    Pour approfondir vous pouvez cliquer sur les liens ci-dessous
    Images personnelles, Administrateur de Chaalis et web
    Réf : http://www.ville-senlis.fr/Decouvrir-Senlis/Patrimoine-Histoire/Senlis-son-histoire
    https://www.herodote.net/1er_juillet_987-evenement-9870701.php
    http://www.ville-senlis.fr/Decouvrir-Senlis/Patrimoine-Histoire/Senlis-son-histoire
    http://www.leparisien.fr/espace-premium/oise-60/senlis-berceau-de-la-dynastie-capetienne-02-08-2016-6009721.php
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/picardie/oise/senlis/senlis-fondation-cziffra-reinvestit-chapelle-saint-frambourg-1088703.html
    http://chaalis.institut-de-france.fr/fr/le-parc-0
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Chaalis
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Chaalis
    http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/sortir-region-parisienne/patrimoine-dans-l-oise-a-chaalis-l-abbaye-ne-fait-pas-le-moine-22-06-2018-7787892.php
    http://www.encyclopedie.picardie.fr/Abbaye-royale-de-Chaalis.html
    https://www.jaimemonpatrimoine.fr/fr/module/81/642/nelie-jacquemart-femme-et-collectionneuse-d-exception

     

     

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  • Commentaires

    1
    LEPAGE Catherine
    Dimanche 7 Octobre 2018 à 21:07

    Bonsoir 

    toujours  aussi bien fait et très intéressant

    Bravo Françoise

    Bonne soirée

    Amicalement

     

    Catherine

    2
    Aymar de Virieu
    Lundi 8 Octobre 2018 à 13:19

    Vives félicitations pour votre magnifique documentaire 

    Aymar de Virieu
      

    3
    Paulette Robert
    Lundi 8 Octobre 2018 à 13:20

    bonjour françoise .alors pas de vaisselle faite , pas de lit non plus , mais que du bonheur de refaire la visite de senlis grace a votre travail , je vient de me refaire une excéllente  visite , par cette matinée pleine de soleil.beaucoup de bonnes choses a vous .encore un grand MERCI. paulette   

    4
    Alicia, conseillère
    Mercredi 10 Octobre 2018 à 09:33

    Mme Jamelin,

    Nous vous remercions pour ce bel article que nous avons transmis à Marie-Paule Mallard, votre conférencière.

     

     

     

    Au plaisir de vous accueillir de nouveau sur notre territoire,

     

     

     

    Meilleures salutations,

     

     

     

    Alicia, conseillère clientèle

     

    Service Groupes

     

    5
    Monique batoni
    Mercredi 28 Novembre 2018 à 15:37
    merci infiniment Françoise pour ces beaux commentaires après toutes ces belles sorties!
    une grande richesse..belle réalisation!bises
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