-
Par nanou278 le 20 Juin 2017 à 15:08
Des traces d'occupation témoignent d'une présence humaine sur le site dès le paléolithique.
Période romaine
Moyen ÂgeLes premières foires ont lieu devant l'église Saint-Ayoul
En l'an 485 et après sa victoire à Soissons, Clovis s'empare du castrum romain de Provins.
Témoignant déjà d'une certaine importance, dès le début du IXe siècle, Charlemagne y envoie ses missi dominici. Autre preuve d'un rôle majeur : Provins frappe sa propre monnaie7 (le denier provinois)
Provins est devenue à cette époque la troisième ville de France, après Paris et Rouen9. Provins fut au Moyen Âge l'une des villes abritant les plus grandes foires de Champagne, lorsque la ville était sous la protection des comtes de Champagne. C'est sûrement cette période qui laissa le plus de traces sur Provins. D'après les lettres patentes de Louis XI10, la ville conservait bien ses privilèges, notamment pour attirer les marchands étrangers. Le roi lui-même visita la ville de Provins les 21 et 22 juin 1479, avant d'aller à Dijon.
Les remparts ont été édifiés entre les XIe et XIIIe siècles, leur périmètre s'élargissant au fur et à mesure que la ville grandissait. Les deux portes réalisées sous Philippe le Bel, la Porte de Jouy et la Porte Saint-Jean, sont des exemples remarquables des portes royales du XIVe siècle.
Provins possède à l'époque l’une des enceintes fortifiées les plus imposantes de France : 5 km de remparts.C’est le comte Thibaut IV de Champagne qui, de 1226 à 1236, fait bâtir cette impressionnante muraille de plus de 25 mètres de hauteur.
Le comte avait vu grand afin d’accueillir et de protéger les habitants et les très nombreux marchands qui venaient pour les Foires de Champagne !
Les bâtisseurs ont pu profiter de la richesse des comtes pour faire preuve de leur savoir, en construisant toutes les formes possibles de tours : rondes, rectangulaires, en amande, octogonales, hexagonales, trapézoïdales, etc.
Aujourd’hui, il reste 1200 mètres de remparts autour de la ville haute.
Comme dans la plupart des villes, la partie disparue a servi pour construire ou reconstruire des habitations.A Provins, on imagine encore facilement le tracé complet grâce aux Allées d’Aligre, un boulevard de promenade très prisé des Provinois.
Ce patrimoine unique est restauré depuis les années 70 tranche par tranche.
Le responsable est l’Architecte en chef des Monuments Historiques, Jacques Moulin ;
la maîtrise d’ouvrage est, quant à elle, déléguée à la Ville de Provins.
Les entreprises et artisans travaillant sur ce chantier sont tous agréés par les Monuments Historiques : maçons, tailleurs de pierre, charpentiers, couvreurs, électriciens, etc.Remparts Porte St Jean
Patrimoine Mondial de l'UNESCO
Provins, unique témoin d'une cité marchande des Foires de Champagne des XIIe et XIIIe siècles...
Sur les anciennes terres des Comtes de Champagne, Provins se trouve, dès l’An 1000, au carrefour des routes du commerce européen. La ville devient peu à peu une place commerciale de premier ordre.Au XIIe et XIIIe siècles, Provins atteint son apogée avec les célèbres Foires de Champagne.
Le plan urbain est conçu pour accueillir les nombreux marchands : des rues larges pour le passage des convois et pour l’emplacement des étals, les maisons de marchands à 3 étages avec de somptueuses salles voûtées…
La présence de l’eau (le Durteint et la Voulzie) favorise également l’activité économique et le développement des métiers tels que les drapiers, parcheminiers, bouchers, etc.
Les imposants remparts, véritables florilèges de formes, sont construits au cours du XIIIe siècle dans le but de protéger les hommes et les richesses, mais aussi de montrer la puissance des comtes.Cette enceinte faisait alors 5 km !
Huit siècles plus tard, l’ensemble urbain de Provins reste le témoin le plus authentique de l’histoire médiévale des XIe au XIIIe siècles.Son patrimoine architectural bâti illustre une période fondatrice de l’histoire occidentale liée à l’essor des échanges économiques et culturels en Europe.
La ville possède 58 monuments historiques classés ou inscrits, véritable conservatoire de l’architecture militaire, civile et religieuse.
Provins est inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO depuis le 13 décembre 2001.
La Grange aux dîmes
Provins au temps des Foires de ChampagnePendant les Foires de Champagne, cet édifice du XIIIe siècle était utilisé comme marché couvert.
On sait grâce à des baux retrouvés, qu'elle était louée, entre autres, par des marchands toulousains.Le premier étage servait de boutique, et la salle basse d'entrepôt.
Le deuxième étage était réservé quant à lui à l'habitation.Au XVIIe siècle, elle fut utilisée en tant qu'entrepôt pour la dîme - impôt sur les récoltes - d'où son nom actuel.
Elle abrite aujourd'hui une exposition de mannequins de cire, représentant les marchands et les métiers du Moyen Âge.
Vous y découvrirez : le marchand italien, le marchand de drap de Provins, le changeur, le marchand flamand, l’écrivain public, les métiers de la laine, le potier, le tailleur de pierre, le carrier et le parcheminier...
Cette demeure à la façade en pierre est typique de la ville avec sa salle basse voûtée en ogive et aux chapiteaux sculptés, parfois très raffinés.
La Tour César
Donjon du XIIe siècle et symbole de la puissance des Comtes de Champagne, il s'anime aujourd'hui grâce à une scénographie audiovisuelleUne légende fait remonter l'origine de Provins à l'époque romaine. Suivant cette tradition, la grosse tour de Provins aurait été bâtie par Jules César.
En fait, cet édifice, implanté au sommet de l'éperon rocheux, fut construit au XIIe siècle par les comtes de Champagne.
On peut affirmer que la Tour existait déjà en 1137, puisqu'il en est fait mention dans une charte de Thibaud II qui déclare donner la Tour comme limite de la foire.À l'origine, la tour n'était pas couverte et se terminait par des créneaux. Le toit actuel et la charpente datent des XVIe et XVIIe siècles.
Témoin par excellence d'une architecture militaire complexe, elle servit de tour de guet, de prison et de refuge.
Elle abrite aujourd'hui les cloches de la collégiale Saint-Quiriace.Avant d'atteindre le plus haut niveau, vous visiterez :
la salle des gardes (salle voûtée) ; la pièce dite "Chambre du Gouverneur", très luxueuse avec sa cheminée et surtout ses latrines particulières ; et le chemin de ronde.Par son histoire, la Tour César se révèle comme l’emblème du pouvoir des Comtes de Champagne.
Par son architecture et sa situation, la Tour nous livre des espaces spectaculaires et une vue panoramique impressionnante sur la ville et ses environs.La collégiale Saint-Quiriace
Lorsque l'on approche de Provins, on remarque au loin les silhouettes de la Tour César et du dôme de la collégiale Saint-Quiriace.
Edifiée au XIIe siècle, les difficultés financières sous Philippe le Bel au siècle suivant, la laisseront à jamais inachevée.
sources http://www.provins.net/fr/
La nef et le portail auraient dû s'élever jusqu'au bout de la place Saint-Quiriace et plus précisément au niveau de la croix.
Le dôme, construit suite à l'effondrement de la croisée du transept date du XVIIe siècleRestaurants
Spectacle
votre commentaire -
Par nanou278 le 23 Mai 2017 à 15:11
Montmartre est un quartier du 18e arrondissement de Paris (France) couvrant la colline de la butte Montmartre, qui est l'un des principaux lieux touristiques parisiens. C'est dans ce quartier du nord de Paris qu'est situé le point culminant de la capitale : 130,53 mètres, altitude du sol naturel à l’intérieur du cimetière du Calvaire, qui jouxte l’église Saint-Pierre de Montmartre.
Jusqu'à son annexion par Paris en 1860, Montmartre était une commune française du département de la Seine, à la superficie plus étendue que le quartier actuel. L'essentiel de son territoire constitue depuis lors les quartiers administratifs des Grandes-Carrières et de Clignancourt, dit « quartier de la butte-Montmartre », et une fraction fut attribuée à la commune de Saint-Ouen.
Les deux accès au sommet de la colline les plus connus sont le funiculaire — un ascenseur incliné automatique — et l'escalier de la rue Foyatier, une montée de 222 marches avec paliers qui longe ce dernier.
Le quartier est desservi par la ligne 2 du métropolitain avec les stations Anvers, Pigalle et Blanche ainsi que par la ligne 12 (stations Pigalle, Abbesses, Lamarck — Caulaincourt et Jules Joffrin).sur les traces de vos stars préférées ayant vécu sur la Butte.
Un guide vous fera découvrir tous leurs secrets au cours d’une balade dans les ruelles de la Butte Montmartre Michou Jean Marais Modigliani etc etcDiner au restaurant typique montmartrois
« Chez Eugène », place du Tertre, près du Sacré Cœur.Soirée au cabaret « Le Lapin Agile »
Nous finirons la soirée au légendaire cabaret « Le Lapin Agile », près des vignes de Montmartre. On y retrouvera l’atmosphère et l’ambiance des veillées d’autrefois.
De nombreux artistes maintenant très connus ont débuté au Lapin Agile.
Moment inoubliable, plein de chansons, d’humour et de poésie !Ce cabaret étonnant a pris son nom actuel en 1880 quand son propriétaire d'alors demande à un caricaturiste familier des lieux, André Gill, de lui inventer une nouvelle enseigne. Ce dernier peint alors un lapin et l'affuble d'une redingote. On le voit s'échapper d'une marmite qui devait le destiner à finir dans les assiettes des invités. Certains prétendent y voir une autre signification : celle d'André Gill lui-même, qui avait pris part aux troubles de la Commune et avait pu échapper à la répression symbolisé par la marmite.
Ce lieu étonnant a accueilli, au fil des décennies, ce qui se fait de mieux en termes d'artistes géniaux et décalés, de visionnaires incompris, de trublions et autres drôles talentueux. Parmi les clients les plus célèbres du Lapin Agile, citons Maupassant, Apollinaire ou encore Picasso.
L'ambiance unique d'un cabaret de Montmartre
Il règne Au Lapin Agile une ambiance unique à Paris. Les murs sont encore patinés et noircis par la fumée d'un poêle où l'on venait chercher un peu de chaleur jadis, dans une ambiance digne de la Bohème chantée par Aznavour, entre éclats de rires, chants et discussions enflammées. C'est ici, notamment, que fut élaboré le canular du Coucher de soleil sur l'Adriatique : un tableau exposé au Salon des Indépendants, encensé par les spectateurs et réalisé par Lolo, l'âne du cabaret ! Ce tableau fut acheté à prix d'or par un collectionneur fort dépité en apprenant la vérité sur le tableau.
Vous pouvez assister, Au Lapin Agile, à des représentations musicales de grande qualité. Ici, la chanson à texte règne toujours en maître et le public peut découvrir dans ce cabaret unique en son genre. Si le lieu souffre parfois d'un public peu réceptif à son ambiance, il n'a en rien perdu son âme. ...
votre commentaire -
Par nanou278 le 8 Mai 2017 à 16:32
Vieux-Port de Marseille
Le Vieux-Port est le plus ancien port de Marseille, ainsi que le centre historique et culturel de la ville depuis sa fondation sur ce site durant l'Antiquité. Le port était le centre économique de Marseille jusqu'au milieu du XIXᵉ siècle, ouvert sur le commerce de la Mer Méditerranée puis des colonies françaises. Les activités portuaires de commerce furent ensuite déplacées vers d'autres sites plus au nord: les bassins de l'actuel Grand port maritime de Marseille.
Le Panier désigne un quartier de Marseille situé dans le 2e arrondissement, composé de trois quartiers administratifs : Hôtel de Ville, Les Grands Carmes et La Joliette.
La vie du quartier du Panier de 1936 à l'après guerre, Mémoire de l'entre deux guerres des quartiers Saint Jean et Panier : témoignage d'une habitante du quartier.
Le Panier est la partie la plus ancienne du site d'implantation historique de la colonie grecque de Massalia en 600 ans av. J.-C. Ses ruelles étroites rappellent toujours qu'il est l'une des parties les plus anciennes de la ville. On a l'habitude de le désigner comme un « quartier populaire » : Avec le quartier Saint-Jean, dynamité en 1942 par les autorités allemandes, le Panier constitue traditionnellement le premier lieu d'implantation des immigrés à Marseille. Aujourd'hui, le Panier reste marqué par ces vagues d'immigrations, et de nombreuses familles d'origine corse ou maghrébine y habitent toujours. Ces dernières années, sous l'effet des réhabilitations et de l'implantation de lieux culturels, le Panier devient un quartier touristique notamment avec le projet Euromediterrané
Wikipedia
Basilique Notre-Dame-de-la-Garde
Notre-Dame-de-la-Garde, souvent surnommée « la Bonne Mère », est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, à cheval sur les quartiers du Roucas Blanc et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis 1917.
Wikipédia
Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée
Musée
Le musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée est un musée national situé à Marseille en France. Il est ouvert depuis le 7 juin 2013 lors de l'année de la Capitale européenne de la culture.
Wikipédia
Les Calanques
La Camargue Aigues Morte les Salins St Marie de la Mer
a Camargue est une région naturelle française située au bord de la mer Méditerranée, dans les départements des Bouches-du-Rhône et du Gard, et formée par le delta du Rhône.
Aigues-Mortes
Aigues-Mortes, en occitan Aigas-Mòrtas, est une commune française située dans la pointe sud du département du Gard, en région Occitanie. Ses habitants s'appellent les Aigues-Mortais et Aigues-Mortaises et aigamortencs en occitan.
L es Salins d'Aigues-Mortes est l'un des 6 établissements de la société les Salins du Midi1, et le siège historique de cette société.
L'exploitation du sel à Aigues-Mortes est une activité économique qui remonte à l'Antiquité. La première activité des salins est attribuée à un ingénieur romain, Peccius, qui laissa son nom au marais de Peccais. Durant le Moyen Âge, alors que le village d'Aigues-Mortes est fortement influencé par l'abbaye de Psalmodie toute proche, l'économie est essentiellement tournée vers la pêche et les salins. Lors du règne de Louis IX, alors que l'abbaye passe sous sa domination, une partie des marais sont assainis, pour faciliter l'activité et les échanges commerciaux de la région. Le développement local est poursuivi sous le règne de Philippe III, dit le Hardi et Philippe IV, dit le Bel, et voit la création des remparts d'Aigues-Mortes2.
C'est en 1856 que les Salins d'Aigues-Mortes sont constitués en société, par le regroupement des propriétaires, pour devenir la société Renouard et Cie. En 1868, la société change de nom. La Compagnie des Salins du Midi installe alors son siège social à Montpellier.
Les salins sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel, depuis le 22 décembre 1995, tant pour le site de production, que pour les bâtiments administratifs et de logements
Sainte Marie de la Mer
Le village des Saintes Maries de la Mer, terre d'accueil, de tradition et de pèlerinage, est construit entre ciel et mer, là où le Rhône embrasse la Méditerranée.
Site de légende, son rivage accueillit, à l'aube de la chrétienté, Marie Jacobé, Marie Salomé et leur servante Sara, chrétiennes persécutées fuyant la Palestine sur une barque sans gouvernail. Le village offre au visiteur l'image de son église altière et protectrice et promet une visite riche d'émotions sous une lumière toujours nouvelle.
A l'ombre de son clocher roman, le visiteur flâne dans les ruelles pavées, sur les traces des pèlerins. Du toit de l'église, le regard à l'affût, nez et cheveux au vent, il se laisse gagner par l'émotion des grands espaces, scènes futures de découvertes et de rencontres chaleureuses avec les hommes et les femmes manadiers qui cheminent à cheval sur les pâturages de taureaux promis à un avenir glorieux.
Du village, ses pas le guident vers les dunes, les plages de sable fin, les vastes étendues de roseaux et les manades. Amoureux de nature et de grands espaces, il goûte aux joies des promenades pédestres et équestres, admire le ballet des oiseaux, cède à l'ivresse de la navigation et de la glisse par grands vents.
Les Saintes Maries de la Mer s'érigent en capitale pour qui s'éprend de la Camargue, envoûté par sa beauté sauvage, sa culture et ses traditions vivantes et authentiques.
http://www.saintesmaries.com/fr/accueil
Avignon
Le pont Saint-Bénézet, couramment appelé pont d'Avignon en dehors d'Avignon, est un pont construit de 1177 à 1185 sur le Rhône, partant de la ville d'Avignon sur la rive gauche. Sur la deuxième de ses quatre arches est édifiée la chapelle Saint-Bénézet, et au-dessus d'elle la chapelle Saint-Nicolas.
a légende raconte que Petit Benoît, connu sous le nom de Bénézet, berger à Burzet, dans le Vivarais, né en 1165, alors âgé de 12 ans, reçut l'ordre divin d'aller construire un pont à Avignon.
Plan d'Avignon gravé en 1649 pour l'Atlas van Loon sur lequel l'on voit les parties manquantes du pont.
Bénézet commença en 1177 la construction du pont sur des restes de culées romaines2. Il fut achevé en 1185 et enjambait alors le Rhône sur 915 mètres avec un angle droit pour offrir moins de prise aux forts courants. Il comportait à l'origine 22 arches, il n'en reste que quatre. À l'origine, seules les piles étaient en pierre et le tablier était alors en bois. L'ouvrage fut reconstruit en maçonnerie entre 1234 et 12373.
Ce pont, poste frontière entre l'État pontifical et le territoire de France, était l'un des seuls pour traverser le Rhône sur des kilomètres en amont et en aval, un bon moyen de collecter des taxes sous la forme d'un péage ou d'une aumône à saint Bénézet. Il a même été durant toute une période l'unique pont entre la ville de Lyon et la mer, ce qui en faisait alors un point de passage obligatoire pour de nombreux marchands, voyageurs, etc. Avant ce pont, on traversait ici le Rhône en barque.
La plus grande partie du pont était la propriété du roi. En 1479, à cause des inondations, deux arches furent entièrement détruites. Aussi le roi de France Louis XI ordonna-t-il sa réparation par lettre patente royale datée du 10 octobre4.
Puis une première arche s'effondre en 1603, ensuite trois autres en 1605, enfin toutes quatre sont rebâties vers 1628. En 1633, juste après la réouverture du pont, deux nouvelles arches s'effondrent. En 1669, une nouvelle crue du Rhône emporta plusieurs autres arches pour ne laisser pratiquement que celles qu'on lui connaît de nos jours2.
Large d'à peine 2,5 mètres, il prenait appui sur l'île de la Barthelasse où se trouvaient de nombreuses guinguettes au XIXe siècle : on dansait donc sous et non « Sur le pont d'Avignon » comme le raconte la chanson, à moins que celle-ci ne fasse référence non pas au pont de Saint-Bénezet en partie détruit depuis le XVIIe siècle mais à son remplaçant en bois édifié un peu plus loin, en 1811, sur le site de l'actuel pont Édouard Daladier5.
Le Palais des Papes
e palais des papes, à Avignon, est la plus grande des constructions gothiques du Moyen Âge. À la fois forteresse et palais, la résidence pontificale fut pendant le XIVᵉ siècle le siège de la chrétienté d'Occident. Six conclaves se sont tenus dans le palais d'Avignon qui aboutirent à l'élection de Benoît XII, en 1335; de Clément VI, en 1342; d'Innocent VI, en 1352; d'Urbain V, en 1362; de Grégoire XI, en 1370, et de Benoît XIII, en 1394.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_des_papes_d'Avignon
Fontaine vaucluse
La source de Fontaine de Vaucluse
Dès l’antiquité, la fréquentation du site a été très importante ; les récentes découvertes archéologiques (2002-DRASSN-SSFV) attestent un culte majeur des eaux. Au bout d’une profonde gorge verdoyante, au pied d’une formidable falaise sculptée par l’érosion, jaillit la plus belle rivière du département : la Sorgue de Vaucluse, à quelques centaines de mètres du pittoresque village auquel la vallée a donné son nom.
Avec un écoulement total moyen de 630 millions de m3 par an, cette source est la première d’Europe, et une des plus importantes au niveau mondial, par son volume d’eau écoulé. Elle résulte de l’émergence d’un immense réseau souterrain.
Source fraîche et paisible en hiver et en été, bouillonnante et impétueuse au printemps et en automne, la Fontaine, véritable caprice de la nature ne cesse d’étonner.
La fin du XIX° siècle voit se dérouler la première tentative de plongée dans le conduit noyé de la Sorgue, (en forme d’entonnoir vertical de 308 mètres de profondeur) et plus d’un siècle d’audacieuses explorations permettent de mieux comprendre le mystère de son fonctionnement. En toutes saisons, les sources secondaires alimentent la Sorgue et forment un très beau plan d’eau ombragé de platanes séculaires.
L’intense beauté de ce site naturel a su émouvoir le cœur de nombreux écrivains et poètes : Pétrarque, Boccace, Chateaubriand, Frédéric Mistral et René Char.
L'accès à la source est gratuit et accessible tous les jours de l'année.
L'histoire du village de Fontaine de Vaucluse
Fontaine de Vaucluse est un petit village où de nombreuses découvertes vous attendent comme les vestiges du Château des Evêques de Cavaillon datant du XIV° siècle, l’église classée aux monuments historiques Notre-Dame et Saint Véran de style roman provençal datant du XI° siècle, édifiée sur les ruines d’un temple païen et abritant dans sa crypte le tombeau de Saint Véran, une colonne érigée en 1804 pour célébrer le 500è anniversaire de la naissance de Pétrarque, les vestiges d’un canal romain construit le long de la rive gauche de la Sorgue. De nombreux artisans vous feront découvrir leur savoir-faire, dans de multiples domaines (confiserie, verre et cristal filés, art du bois, poterie, bijoux, coutellerie, cuir, art du vitrail, photos sur supports...) sans oublier les ateliers de peintres et sculpteurs et de nombreux commerçants.
Vous pourrez également visiter le musée Bibliothèque Pétrarque, le musée « L’Appel de la Liberté », le musée d’histoire 1939-1945, l’écomusée du Santon et Traditions de Provence, l’écomusée du gouffre, le musée de spéléologie et la collection Norbert Casteret ou encore le Moulin à Papier « Vallis Clausa » puisque la fabrication du papier à la main a été une activité majeure et prospère à Fontaine de Vaucluse, jusqu’au milieu du XX° siècle.
h
image web
Monastère cistercien depuis 1148
Enserrée dans le creux de son vallon, l'Abbaye Notre-Dame de Sénanque demeure comme un des plus
purs témoins de l'architecture cistercienne primitive. Elle est toujours habitée par une communauté de
moines cisterciens. Plus précisément, c'est le témoignage d'hommes rassemblés par l'appel du
Christ pour le suivre de plus près, qui donne sens à cet édifice religieux.
Le lieu d'implantation d'un monastère, son architecture, son style rappellent à tous les visiteurs la finalitéd'un tel ensemble de bâtiments : "être une école du service du Seigneur".
Saint Benoît a écrit une Règle (6ème siècle), sous laquelle nous militons, qui veut être une modalitéd'application de l'Évangile.
Les ocres Roussillon
Une formation géologique originale
Il y a 230 millions d'années, la Provence est recouverte par la mer et le restera pendant une très longue période.
Plusieurs milliers de mètres de sédiments arrachés aux continents alentour s'accumulent au fond des eaux.Ils formeront par la suite les calcaires blancs si caractéristiques de ce pays : mont Ventoux, Luberon,
Sainte Victoire, canyon du Verdon, calanques etc.
Vers -110 millions d'années, la mer s'approfondit. Les sédiments qui se déposent au fond des eaux sont desargiles grises qui viennent recouvrir les calcaires et auxquelles les géologues donneront le nom de " terrains
aptiens ".
http://otroussillon.pagesperso-orange.fr/
L'Isle-sur-la-Sorgue
La beauté simple de notre nature, sa rivière, la Sorgue, ses reliefs, les Monts de Vaucluse, la constellation de vergers
dans la plaine, les coteaux de vignes… A découvrir, à parcourir sous le ciel si pur de Provence… Et son soleil !
Une histoire riche d’évènements, un patrimoine très varié, allant de nos lavoirs traditionnels aux châteaux en passant par nos
églises classées… Un territoire particulier à découvrir, à visiter sous toutes les formes (guides touristiques et circuits établis, visite
s guidées, traditionnelles, thématiques ou théâtrales, application mobile…).
Un goût prononcé pour la Culture, l’Artistique, le Beau. Musées, Antiquaires et Brocanteurs, Fondations et galeries d’Art:
des centaines de lieu à découvrir, où s’émerveiller.
Une population provençale chaleureuse, ses nombreuses traditions et festivités, un large agenda d’animations parmi
lesquelles nos nombreux marchés … à découvrir, à vivre, à toutes les saisons.
Le Pays des Sorgues et des Monts de Vaucluse, ça se découvre, ça se vit, ça se partage… !
http://www.oti-delasorgue.fr/decouvrir
Gordes
Gordes (prononcé [gɔʁd]) est une commune française situé dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le bourg est l'un des villages les plus visités du Parc naturel régional du Luberon. Il se situe aux confins du Parc et précisément dans les Monts de Vaucluse, qui font face au versant nord de la montagne du Luberon.
Perchée sur un rocher, la commune cotise à l'association Les Plus Beaux Villages de France pour son patrimoine riche et varié : deux abbayes, un château, de très nombreux hameaux anciens, et plusieurs centaines de cabanes en pierre sèche ou bories, plusieurs moulins à eau et à vent, des fontaines, des lavoirs et des aiguiers.
Gordes, située entre la réserve de biosphère du Parc naturel régional du Luberon et celle du mont Ventoux, possède un patrimoine naturel riche, encadré par des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Après avoir connu un certain niveau d'artisanat jusqu'au XIXe siècle, la commune fut vidée d'une partie de ses habitants, pour renaître, tout d'abord à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale sous l'impulsion de personnalités artistiques, puis dans les années 1980 avec le développement de l'immobilier et des transports ferroviaires.
Pont du Gard
e Pont du Gard est situé au coeur d'une région au riche patrimoine historique à proximité de Nîmes, Uzès et Avignon.
Monument antique le plus visité de France, aqueduc classé par l'Unesco, le Pont du Gard reste l'un des grands chefs-d'oeuvre de l'humanité. Merveille de l'Antiquité, prouesse technique, c'est aussi un site magique, redevenu sauvage depuis son réaménagement.
Haut de 48 mètres, il compte une triple rangée d'arcades superposées : 6 arches au niveau inférieur, 11 au deuxième et 35 au troisième. Sa longueur atteint 273 mètres dans la partie supérieure (360 à l'origine avec 12 arches supplémentaires). Il fut utilisé jusqu'au VIème siècle, puis devint un péage au Moyen-Age, et enfin un pont routier du XVIIIE au XXeme siècle.
L'opération Grand Site engagé en 2000 lui a rendu son cadre primitif, sans circulation automobile et sans les constructions qui avaient proliféré aux alentours.
votre commentaire -
Par nanou278 le 21 Avril 2017 à 15:13
Montparnasse et les années folles
Cette visite retrace l'histoire de ce quartier pour mieux appréhender l'incroyable bouillonnement qui se produisit dans l'entre-deux-guerres.Nous découvrirons comment Montparnasse relaya Montmartre dans le cœur des artistes et des poètes
Le matin, nous retrouverons le Montparnasse des années folles et son atmosphère festive ! C'est l'histoire d'artistes de toutes origines qui y avaient leur atelier. Kiki, leur muse et reine des soirées du quartier, a été l’inspiratrice des plus grands, Man Ray, Modigliani, Duchamp, Aragon...
La Coupole
Ouverte le 20 décembre 19271, par Ernest Fraux et René Lafon sous un nom qui veut éclipser celui du café littéraire Le Dôme, un des autres établissements du boulevard du Montparnasse, La Coupole connaît un rapide succès. Cette ouverture en grande pompe, qui donne lieu à une fête mémorable où les stocks immenses de champagne se révèlent insuffisants face à l'afflux des invités, peut être considérée comme l'apogée du rayonnement de Montparnasse.
Sur une artère où la concurrence entre brasseries est féroce, les gérants investissent lourdement et misent sur l'espace, malgré les difficultés architecturales que posent l'édification du bâtiment au-dessus d'un sous-sol truffé d'anciennes carrières souterraines, et le coût élevé d'une décoration Art déco somptueuse. Le peintre Alexandre Auffray peint les piliers qui sont plus tard classés monuments historiques.
Le dancing de La Coupole, au sous-sol, ouvre le 24 décembre 1928 et est l'endroit où se produisent les musiciens2.
Parmi les premiers artistes et intellectuels à adopter le lieu, on peut citer Jean Cocteau (qui participe à la soirée d'inauguration), Foujita, Kisling, Giacometti, Zadkine, Joséphine Baker, Man Ray, Georges Braque ou Brassaï. Louis Aragon et Elsa Triolet s'y rencontent en 1928. Dans les années 1930, les aficionados du lieu sont Picasso, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, Sonia Delaunay, André Malraux, Jacques Prévert, Marc Chagall, Édith Piaf parmi tant d'autres. Dans les années 1940 et 1950, on peut y croiser Ernest Hemingway, Marlène Dietrich, ou encore Ava Gardner. Après la Seconde Guerre mondiale, Yves Klein y dîne pratiquement tous les soirs et y fait des séances de judo sur la terrasse (à cette époque le bâtiment ne comporte qu'un étage). Il est également professeur de judo à l'American CenterSources :Wikipédia
Musée Pasteur
Louis Pasteur, chimiste de formation, sera à l’origine des plus formidables révolutions scientifiques du XIXème siècle, dans les domaines de la biologie, l’agriculture, la médecine ou encore l’hygiène. En commençant ses recherches sur la cristallographie, Pasteur s’engagera sur un chemin jalonné de découvertes qui le conduiront à la mise au point du vaccin contre la rage.
Emaillée de découvertes révolutionnaires, la vie de Louis Pasteur est aussi marquée par plusieurs drames qui ont sans doute contribué à motiver sa soif de comprendre les maladies de son époque. Infatigable et passionné, il n’a pas hésité à traverser la France pour aller au bout de ses théories ou pour résoudre les problèmes agricoles et industriels posés par les maladies infectieuses.1822
27 décembre : naissance de Louis Pasteur à Dole (Jura).1847
Travaux sur la dissymétrie moléculaire
En 1847, Louis Pasteur, jeune chimiste tout juste sorti de l’Ecole normale supérieure, cherche à comprendre pourquoi deux substances chimiques apparemment identiques ont un effet différent sur la lumière polarisée1865
Dépôt du brevet de la pasteurisation
Les travaux de Louis Pasteur lui ouvre de nouvelles perspectives : d’où viennent les agents de la fermentation ? Naissent-ils de germes semblables à eux ou apparaissent-ils « spontanément » comme le suppose la théorie de la génération spontanéeTroisième époque : 1877 - 1887
1885
PREMIÈRE VACCINATION ANTIRABIQUE CHEZ L’HOMME
De 55 à 65 ans, Louis Pasteur va mettre la microbiologie au service de la médecine et de la chirurgie. Si les maladies sont dues à des micro-organismes, il faut les identifier et trouver le moyen de les contrer. La rage en sera le plus bel exemple.1888
INAUGURATION DE L’INSTITUT PASTEUR
Si l’Institut Pasteur porte le nom de son illustre fondateur et doit beaucoup au génie scientifique de ce dernier, son histoire est faite de la vie et des découvertes de bien d’autres chercheurs. Autant d’hommes et de femmes, habités par l’esprit humaniste de Louis Pasteur, autant d’avancées scientifiques au service de la santé humaine.
L’Institut Pasteur est une fondation privée, à but non lucratif, reconnue d’utilité publique, telle que l’a voulu son fondateur, Louis Pasteur.
Fondé par décret du 4 juin 1887, l’Institut Pasteur est inauguré le 14 novembre 1888 grâce au succès d’une souscription internationale, pour permettre à Louis Pasteur d’étendre la vaccination contre la rage, de développer l’étude des maladies infectieuses et de transmettre les connaissances qui en étaient issues.Sources : https://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/notre-histoire
votre commentaire -
-
Par nanou278 le 9 Mars 2017 à 18:17
Le château à proprement parler fut construit dans un style Renaissance à partir de 1509 sous l'impulsion du propriétaire des lieux, Jean Cottereau, le trésorier surintendant des finances sous Louis XII , puis sous François Ier et Henri II.
À sa mort en 1530, il le laisse en héritage ainsi que les terres environnantes à Jacques d'Angennes, seigneur de Rambouillet, son gendre.
Son fils Louis en hérite en 1562 et devient baron de Maintenon ; ses héritiers vendent la propriété au marquis de Villeroy d'Angennes.
Le 27 décembre 1674, Françoise d’Angennes, épouse Odet de Riantz, marquis de Villeroy, héritière de Charles François d'Angennes, vend son château et le titre de Maintenon pour 150 000 livres à la veuve du poète Scarron, dame Françoise d'Aubigné qui devient ainsi marquise de Maintenon.
Dès lors, le château s'agrandit et s'embellit par de grands travaux financés par le roi et devient un château quasi-royal. Le parc fut dessiné par Le Nôtre.
Racine y vint souvent méditer, tandis que c'est à Vauban que l'on doit l'aqueduc qui ne fut pas terminé du fait des guerres et du paludisme, et les travaux étant abandonnés en 1688. L'édifice, qui devait comprendre trois rangées d'arcades superposées, était destiné à amener les eaux de l'Eure depuis sa source jusqu'à Versailles.
Le domaine passa ensuite dans la famille de Noailles grâce au mariage de Françoise-Amable d'Aubigné, nièce de la favorite puis épouse morganatique , avec le duc d'Ayen, Adrien Maurice, fils du maréchal de Noailles.
En 1830, Charles X, déchu, y coucha sur le chemin de l'exil.
À l'automne 1926 Georges Clemenceau, après y avoir déjeuné, écrivit à son amie la comtesse d'Aunay, faisant probablement allusion à un portrait de Mme de Maintenon :
"Mme de M. (il écrit par erreur Montespan) avait un petit air difforme et non pas altier figure que lui prêtent nos historiens
Vers 1950, le bureau du duc de Noailles quitta le château pour entrer dans la collection d'art d'Élie de Rothschild (1917-2007) et de son épouse, née Liliane Fould-Springer
Cabaret l’Etincelle
votre commentaire -
Par nanou278 le 1 Février 2017 à 15:16
Le quartier de Bonne-Nouvelle est situé sur une légère butte, appelée au XIIIe siècle le Mons Superbus, au XVe siècle le Mont-Orgueil (d'où le nom de la rue Montorgueil), au XVIIe siècle la Butte-aux-Gravois, et au XIXe siècle la butte de Bonne-Nouvelle (du nom de son église Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle).
Cette butte se trouve à la limite nord du deuxième arrondissement : au sud du boulevard de Bonne-Nouvelle, le sommet est traversé par la rue Beauregard.
.Après le retour de la cour du roi Louis XV de Versailles à Paris, il fut nécessaire de créer un tout nouveau quartier, sorte de second faubourg Saint-Germain rive droite, pour y recevoir cette riche et nouvelle clientèle. Pour satisfaire les exigences de ces nouveaux résidents, en un temps record, entre 1770 et 1830, de superbes hôtels particuliers de style néo-classique furent érigés.
Déjeuner au restaurant Bouillon Chartier
Puis découverte de L'Hôtel Drouot
Un spectacle insolite
Quel que soit le jour ou l’heure de votre visite, vous atterrirez au milieu d’une foule en ébullition réunie autour d’un même objectif : la quête de l’objet. Car Drouot c’est, tout au long de l’année, quelques 800 000 lots vendus pour un chiffre d’affaires de plusieurs centaines de millions d’euros.
Un lieu où tout se vend, et tout s’achète, de la toile de grand maître à la vaisselle de grand-mère.
Pour profiter de cette expérience insolite, passez les portes de l’Hôtel des ventes, déambulez dans les différents étages et imprégnez vous de l’atmosphère des salles de vente. Et n’ayez surtout pas peur de vous faufiler dans une salle pour profiter du spectacle, là est le principal intérêt de Drouot!
Vous vous sentirez d’ailleurs rapidement pris au jeu de ce marché pas comme les autres, qui détient ses propres codes et une mise en scène unique. Un rituel qui dure dans ces murs depuis 1852, et qui fait aujourd’hui de Drouot la plus grande place au monde d’enchères publiques.Pour découvrir l’univers de ce lieu mythique , un conférencier vous fera une présentation du métier de commissaire-priseur, de la vente aux enchères, de l’histoire de l’Hôtel des ventes ….
Ensuite votre guide vous accompagnera pour une visite des salles de vente et d’expositions. Ainsi vous y découvrirez le mécanisme des enchères et les usages du marché de l’art.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique